Il est des moments où la conservation des positions, l’ancrage dans la division, est le plus saint des devoirs. Cette assertion, qui pourrait être celle de Léonard de Vinci, n’a rien d’anarchiste, étant entendu qu’il est des tempêtes gonflées d’alizés et de brises salutaires.
En fait, quoi que puissent en penser certains observateurs idéalistes à souhait, il est somme toute évident que le dialogue, dans quelque domaine que ce soit, ne peut porter les effets escomptés que s’il a au préalable obéi à un processus de maturation suffisamment cohérent. Susciter un dialogue, politique de surcroît, sans qu’il ait obéi à cette logique de patience, c’est comme faire subir à un candidat une évaluation dans une discipline quelconque sans que l’imprégnation requise à cet effet ne soit arrivée à son terme.
De quoi Macky entretiendra-t-il ses hôtes ? Quelle est la base de son menu ? A-t-il la certitude qu’aucune des marmites de son buffet ne contient de la sauce empoisonnée ? Dans le plan de concertation, n’y a-t-il pas de grossières omissions ? N’y a-t-il pas leur revers, c’est-à-dire des excroissances thématiques, qui viendraient inutilement gonfler le sommaire ?
De toutes les manières, il n’est guère évident que le dialogue, dans la spontanéité de son expression fulgurante, puisse laisser espérer, sans inquiétude aucune, des lendemains qui chantent. Car il ne faut pas perdre de vue que depuis que des hostilités ont commencé à se manifester entre le "Macky" et certains de ses souteneurs matinaux, trop de frustrations se sont accumulées ; de même, trop de soupçons non exprimés, trop d’impressions d’abus de pouvoir non révélées, habitent secrètement ceux-là même qui donnent l’air d’approuver toute la politique du "prince", parce que n’ayant guère les coudées suffisamment franches pour étaler le fond de leur pensée.
Ceux-là sont très nombreux et sont de faux amis, qui iront à la table avec la certitude de n’avoir pas les oreilles qu’il faut pour écouter le maître de céans seriner une nouvelle philosophie du consensus à laquelle il est condamné à ne pas être fidèle.
En fait, quoi que puissent en penser certains observateurs idéalistes à souhait, il est somme toute évident que le dialogue, dans quelque domaine que ce soit, ne peut porter les effets escomptés que s’il a au préalable obéi à un processus de maturation suffisamment cohérent. Susciter un dialogue, politique de surcroît, sans qu’il ait obéi à cette logique de patience, c’est comme faire subir à un candidat une évaluation dans une discipline quelconque sans que l’imprégnation requise à cet effet ne soit arrivée à son terme.
De quoi Macky entretiendra-t-il ses hôtes ? Quelle est la base de son menu ? A-t-il la certitude qu’aucune des marmites de son buffet ne contient de la sauce empoisonnée ? Dans le plan de concertation, n’y a-t-il pas de grossières omissions ? N’y a-t-il pas leur revers, c’est-à-dire des excroissances thématiques, qui viendraient inutilement gonfler le sommaire ?
De toutes les manières, il n’est guère évident que le dialogue, dans la spontanéité de son expression fulgurante, puisse laisser espérer, sans inquiétude aucune, des lendemains qui chantent. Car il ne faut pas perdre de vue que depuis que des hostilités ont commencé à se manifester entre le "Macky" et certains de ses souteneurs matinaux, trop de frustrations se sont accumulées ; de même, trop de soupçons non exprimés, trop d’impressions d’abus de pouvoir non révélées, habitent secrètement ceux-là même qui donnent l’air d’approuver toute la politique du "prince", parce que n’ayant guère les coudées suffisamment franches pour étaler le fond de leur pensée.
Ceux-là sont très nombreux et sont de faux amis, qui iront à la table avec la certitude de n’avoir pas les oreilles qu’il faut pour écouter le maître de céans seriner une nouvelle philosophie du consensus à laquelle il est condamné à ne pas être fidèle.